Au pire, on la joue fine!?...
...Qu'est-ce que l'opiorphine? Et bien c'est un messager hormonal naturellement sécrétéchez l'homme, ce qu'aurait découvert les institutonnalisés de chez Pasteur, "Les chercheurs de l'unité de biochimie structurale et cellulaire(Institut Pasteur/CNRS); il y a quatre ans qu'ils y bossent nous prévient-on ..voyez, pour avoir été mis au courant, il faudrait lire un peu de littérature médicale à la bonne époque de l'avance sur son temps du retard d'annonce de la découverte, pour ne pas que ce soit seulement aujourd'hui la bonne nouvelle de demain..
ainsi, anticipons, silences, "fixons!", et je vous fait un peu "d'où qu'c'est qu'on va dans ce meilleur des mondes?.." ou du "..or, well, 2084?..plus aucune douleur, plus aucune dépression, ever dose of bonbons, bon!.."
explication du principe: "l'opiorphine a, pour les mêmes doses, un pouvoir analgésique aussi puissant que celui de la morphine, que la douleur soit d'origine thermique ou mécanique, qu'elle soit aiguë ou chronique. Et sans entraîner d'accoutumance (qui oblige à augmenter progressivement les doses) ni de constipation. Côté antidépresseur, la molécule est très active, sans provoquer d'hyper-excitation, sans effet sédatif ou néfaste sur la mémoire à long terme." , voilà bien de la formule d'apothicaire, tu prends le tout, à bonne dose, tu mélanges, et si, tu vas voir, ça marche, on a testé sur gaspards et souris vertes qui couraient dans l'herbe qu'on attrape par la queue..10 balles le flacon, c'est du bon! Ça guérit tout!..10 BALLES LE FLACON M'SIEURS-DAMES!.CA MARCHE AUSSI POUR LES GNIONS!..
Ainsi: " Les chercheurs tentent à présent d'optimiser l'opiorphine de synthèse qu'ils ont produite pour la rendre plus stable, de manière à augmenter sa disponibilité dans l'organisme et sa durée d'action. C'est seulement après ces étapes que les premiers essais pourront être envisagés chez l'homme pour évaluer le potentiel thérapeutique de l'opiorphine ou de son dérivé synthétique. Le développement préclinique d'un tel médicament devrait pouvoir débuter dès janvier 2011, selon Catherine Rougeot. Reste à trouver son financement... "
preumso: optimiser l'opio' de synthèse, c'est mieux que de faire en sorte qu'on le fasse nous-même?.. avec celle qu'il parait sûr qu'on en aurait, puisqu'ils l'ont trouvé, et dont, pourquoi ne pas se demander, nous ne nous servons pas "naturellement?" comme on "déclenche nos hormones de stress!"..
deuzieu: nous apprenons que les essais cliniques réalisés sur les rats ou autres bestioles ont permis de démontrer que l'on pouvait ainsi facilement créer les conditions nécessaires à rendre évaluablement un rat déprimé et endolori, l'on ne nous dit pas qu'il cause, et qu'il répète souvent haut et fort tout en picolant.;"p'tain d'chiée d'vie, ras la queue j'ai mal à m'pendre!", ce pourquoi, il est toujours en présence de bons amis destinés par leur présence à lui éviter de faire une grosse bourde!..et pour sa propre sureté quoi..ça c'est déjà bien évalué chez l'homme, pour preuve on sait que ça modélise idem chez le cobaye qui se mord la queue..
terchiotte: financement? Fastoche ça!..une fois mis au point la guérison, le potentiel de mettre tout le monde d'accord sur le prix et le brevet pour 20 piges, si nos courbes sont bonnes, ça l'fera m'sieur le directeur financier, voyez donc le tableau de nos prévisions, ça va faire un tabac mon adjuvant!..
voilà, génial, bientôt on déprimera plus, on aura plus mal, on sera zen et on prendra bien couloce la vie comme elle vient, nos patrons pourront bien nous faire suer, la seule chose qui nous gonflera à chier sera l'abus de pruneaux à jeûn, on s'en balance..notre tumeur?..pfff, c'est rien ça, ça fait plus mal, d'ici là ils auront encore avancé et même trouvé le remêde!..au moins on pourra aller faire du ski, peinard, sauf si ces malades d'anarchautonomopapatients se mettent à s'agiter des quatres nerfs, par bonheur, ça on sait comment ça se soigne..(..je vous en parle dès maintenant, mais la prise en grippe de cette insidieuse infection duraille dite "syndromatique de l'anar qu'ose", c'est le nom commun d'une prochaine maladie dont on trouvera la gène impliquée du maillon de la chaine à des haines un de ces quatres grands soir de la saint glinglin, c'est pas demain la veille, c'est qu'il faut le temps à la science de trouver d'autres trucs sur lesquels bosser en attendant de trouver, aussi quoi!..soyez patients!)..et ça c'est du tout bon non?!...ce n'est pas tout le monde qui est malade, juste nous!...alors une bonne saignée, quelques jours de repos, et si ça va pas mieux, avaler la pilule...
..bref, ça m'aurait quand même un peu fait penser au Prozium de ce film, "Equilibrium", ou au Soma du "Meilleur des Mondes" d'Huxley, ici: lien:
http://nosotrosincontrolados.wordpress.com/category/uncategorized/
..j'avais donc déjà réfléchis à ça sans mettre mon commentaire en suite de ce billet à faire des liens ardents à 451 degrés-farniente, ce qui donnait ce qui suit, en réaction en cascades de séquences de gènes, d'éthiques, des voix de la perfusion goûte-à-goutte, des traitements invasifs d'invasions anxiogènes, de bien naitre...finalement, ici aussi il trouve sa posologique à adapter , c'est qu'il faut toujours un peu tatônner d'abord pour trouver comment mettre une bonne dose...enfin, si j'en crois les expérimentations prometteuses dont ce bel exemple du mieux-être des rats de labo..à priori, ça le vaut aux hormones!..un peu des raisons de nos facteurs dépressionnaires et douloureux?..c'est que je me demande au fond du tube, c'est que je ne suis pas spécialiste...
..ce "meilleur des mondes", si bien anticipé, cette vision dystopique d'une société à présent largement appliquée à ces principes, finalement avancés de "la meilleure des tombes", pour être enterrés de son vivant, tout en préservant un peu de vitalité nécessaire à mesurer la santé de celle-ci et tirer profit sans qu'elle finisse par se retourner contre-soi..c'est l'imposition du rêve ou du cauchemar, prétendu accessible ou atteint, si possible éveillé, mais limité par de savantes ficelles, par ces sciences, dont les diverses expérimentations posent des équations dans l'idée d'obtenir le résultat, la précision de ce résultat étant déjà largement souhaité prédictivement par la volonté de sa démonstration à apporter.
Ainsi, petit, l'on nous dit bien qu'on ne peut additionner des carottes et des patates, le calcul n'est pas possible, les unités sont dissemblables, l'expérience de la soupe nous prouve pourtant le contraire!..il aura suffit de cloisonner le mode de pensée, de faire aimer les math' pour les uns, la bouffe pour les autres, sans mettre à portée de vue de nécessité vitale mais toujours encore, avancer le résultat espéré, qui alors fera loi..
cloisonner la pensée se fait tout aussi facilement par le cloisonnement de l'environnement; l'homme, il y a, et pendant, bien longtemps, aura certes connu des "frontières" naturelles, qu'il aura pourtant passé, sous réserve d'en éprouver la nécessité, ou la curiosité, ou pour affronter ses peurs, ou ses rêves, bien décidé sans en connaitre le résultat d'avance..et le voilà aujourd'hui soumis aux frontières sur papiers..aux tour-opérateurs marchands de "tourisme" d'une part, et de l'autre aux volontés d'enclavement du désir ou de l'importance, toujours vital, d'un "changement d'air" quand celui-ci n'est plus aussi respirable, quand il irrite et empêche le moindre souffle de vie.
Maintenir les "conditions" de vie des uns nécessite de fait de pointer les conditions "inadmissibles" des autres, en les prétendant toujours pires, en maintenant des vérités qui sont le résultats de ces "calculs" ou postulats régis par les détenteurs de ces sciences dont ils édictent eux-mêmes les théories valables d'une "égalité" atteignable, alors qu'elle est déjà présente intrasèquement par le simple premier souffle de vie et le dernier aussi; dans la simple fonction, désormais aussi à l'étude scientifiquement, "quantique", ou l'énergie, les moments cinétiques, ces mouvements à des instants précis ne servent non pas de base au dépassement, mais deviennent le résultat des probabilités envisagées bien avant l'expérimentation in-vivo, celle-ci "finalise" la théorie et l'expérience, quand ce n'est pas le cas, le digne scientifique recommence, le fou aussi..
Il est pourtant clair que quelle que soit l'expérience, et tout autant que puissent être envisagées les probabilités "accidentelles", il est de ces moments où le labo part en fumée sous le coup d'une belle explosion incongrue et inattendue, sans explication immédiate ou simplement de n'avoir pas vraiment vérifié chaque élément et les conséquences de les avoir mêlées, parfois en ayant omis, par mégarde ou par trop d'assurance, d'éventuelles incompatibilités conjecturelles..la réponse d'un tel résultat se trouve souvent dans les décombres, dont l'on avait pas imaginées ressortir les raisons des erreurs commises avant le premier coup de pelle?!..on pourrait bien en douter, c'est aussi un principe pris en compte..
..on nous refile du tout prêt à l'usage, posant la limite à la façon d'une vis dont la tête n'est pas adéquate avec nos outils, empêchant volontairement de laisser voir ce qu'il pourrait y avoir dedans ou comment le bricoler soi-même, tout à l'inverse et simultanément, on nous fait montre d'émancipation ou de valorisation par la possession de ce tout prêt, au point de n'en plus avoir à comprendre ou comment ça marche, ou pourquoi ça ne marche pas, amenant l'outil à l'inutilité admise par la circonstance; judicieuse méthode s'il en est, parvenir à détourner le besoin par la mise en avant de "l'importance" de l'outil pour y parvenir, c'est comme rendre aveugle par, ou trop de pénombre, ou trop de lumière..
il n'y a pas de meilleur aveugle que celui qui ne souhaite voir, c'est bien ce à quoi tient tout ce principe de gouvernance, simplement faire souhaiter, à maintenir l'étincelle tout en la sécurisant, dans les limites conditionnelles établies par toutes ces propagandes marchandes et politiques qui n'ont d'autre fonction que de maintenir les affects et espoirs évaluables par la réaction engendrée, ou mieux encore, par la non-réaction. Ainsi donc, par anticipation d'une théorie éprouvée, et l'utilisation des outils adéquats, le résultat est couru d'avance..
il ne faudrait cependant ne pas oublier qu'expérimentalement, "l'électron libre" est d'une part celui qui poserait problême de ne pouvoir anticiper sa course folle, mais d'autre part et probablement la plus importante à concevoir, celui-ci est aussi générateur d'énergie par son opposition aux forces contraires, et c'est bien pourquoi il est celui à maitriser pour éviter au laboratoire d'éventuelles réactions en chaines qui se déchainent à foutre en l'air toute théorie quelle qu'elles soient d'un gros boum!..
il est à se demander qui à la peur la plus tenace de la perte avec fracas, celui qui aurait tout ou celui qui n'a rien, si ce n'est cette énergie à vivre sans limite et la "conscience" de l'instant vécu par la simple observation des faits, plutôt que le fantasme théorique d'un résultat attendu dont la réponse ne peut etre réellement apportée qu'après ce moment dépassé...
quelle théorie de la gravité nous aurait donnée Newton si en lieu et place de sa pomme sur la tronche(..ce qui, en plus, ne serait pas une réalité..) il avait reçu un colombin de bonobo?..qu'aurait pu imaginer Einstein adolescent s'il avait pris un dernier coup de bourre éliminatoire en bricolant avec le courant et tonton?..qu'en serait-il de l'énergie si un Tesla avait eu les moyens et l'assurance d'un moment favorable à ses travaux, pillés pour en amenuir ou en détourner la finalité?.. de ces exemple notoire de la science, on sait aujourd'hui que théoriquement, c'est incomplet, partiel, conjoncturel, relatif, bref, faux en des circonstances inadaptées ou élargies..et tout autant science-fictionnelle ou anticipatrice en leur temps, considérée comme "folie" et pourtant bien accaparée par la sacro-sainte et émancipatrice science si bienveillamment encadrée par les mêmes pouvoirs à diriger et contenir ces "folies"..et ces trois-là pensaient à quoi?.. de souhaiter prouver la connaissance incomplête, limitée théoriquement, ou réductrice?..c'est une vraie question, annexe certes, mais liée à l'individualité qui a permis l'expression de l'idée qui a germée, était-elle "conditionnée"? ou le fruit d'une impulsion inexpliquée et pourtant "géniale" se dirait-il, de par son expression , ou par l'admission de tous comme l'étant?..on dira "fallait y penser!" tout en mettant en oeuvre les moyens antagonistes à la libre ou la contre-pensée?..
il est de fait que notre société est scientifique, que les multiples observations de mêmes évènement tiennent alors lieu de postulats ou de vérités, qu'en réalité toute théorie n'est que la modélisation à priori basées sur les simples sources observables, évaluables sur les principes de l'expérience en cours ou déjà réalisée, mais de celles qui n'ont pas été faites ou non-abouties? par la volonté première d'empêcher une éventuelle réalisation avec succès?..nous, nous serions du mauvais côté du tube à essai, ou enfermés dans un vide sidéral infini?!..manquerions-nous d'expériences?..m'est plutôt avis que toute cette science serait bon prétexte à la soustraction des idées en contrepartie de la multiplication des résultats en hausse, ça semble si mathématique ou irrationnel? et pourtant, à l'instar d'un Galilée jugé, force est de constater que pourtant, ça tourne!..
bien évidemment, vos résultats d'études multi-pluri-disciplinaires sont bien venues à confronter les recherches, sans que l'on soit d'ores et déjà dans l'obligation de se demander si ça vaut la peine d'organiser du séminaire et ce que ça va demander à financer pour l'apéro d'ouverture!?..
sur ce, à notre santé!..